Inspiré de la réussite de Hart boven Hard en Flandre, le mouvement Tout autre chose (TAC) est né lors des grandes grèves de décembre 2014 comme « mouvement de citoyens et d’associations ». Après neuf mois de développements réjouissants, ce « et » suscite des discussions parfois difficiles. Conduiront-elles à des débats féconds ou s’enliseront-elles dans des clichés stérilisants ?
La revue Politique m’a honoré d’une invitation : coucher sur le papier la réflexion d’un observateur extérieur, intéressé par la politique et par les défis écologiques, sur la cinglante (trop cinglante, sans doute) défaite du 25 mai, et sur les perspectives qu’elle ouvre pour Écolo.
Non seulement une bonne formation n’assure pas un emploi mais parfois elle peut même empêcher d’en trouver un! Illustrations de quelques paradoxes d’un secteur rarement remis en question.