Même groupusculaire, la « gauche radicale » n’avait jamais vraiment disparu. Mais le vent tourne et il semble que, cette fois-ci, son heure a sonné. Aux dernières élections, ce fut plus qu’un frémissement…

Puisque la gauche gestionnaire déçoit, une autre gauche peut-elle prendre le relais, ou est-ce l’échec assuré ?