Ce n’est pas avant le XXe siècle que les féministes revendiquent, avec modération, le droit de vote. Mais elles ne trouvent pas d’écho au sein des partis politiques : si les socialistes y sont initialement favorables, la crainte d’un vote féminin conservateur fait renoncer la gauche à ce combat. Le même opportunisme électoral poussera les catholiques à se rallier, eux, au droit de vote des femmes. Mais sans pour autant leur réserver bon accueil en leur sein…