Note relative à l’écriture inclusive dans la revue Politique

En mettant à disposition le texte qui suit, et en adoptant ces règles, l’objectif de la revue Politique est de lutter contre l’invisibilisation des femmes dans l’écriture en langue française. Être pour la visibilisation des femmes dans l’écriture revient à être pour le principe de l’écriture inclusive, qui peut prendre de multiples formes. 

A priori, les règles suivantes s’appliquent à l’ensemble des textes que nous recevons. Comme pour toutes les règles de rédaction et typographie propres à une rédaction, si les règles ne sont pas appliquées par les auteurs et autrices, nous les appliquons aux textes reçus.

Cependant, en tant que « revue de débat », la revue Politique laisse la possibilité aux auteurs et autrices de spécifier qu’ils et elles ne souhaitent pas que leur texte soit modifié en ce sens, lors de l’envoi de celui-ci à la rédaction.

Les règles suivantes sont choisies avec la volonté d’allier l’inclusion du féminin, à celle des divers types de lectorat, notamment les personnes les moins habituées à l’écriture inclusive. 

Règles d’inclusion 

1. Lorsque le terme est communément admis ou intégré au féminin avec l’adjonction d’une terminaison (par exemple : « une enseignante »), le point médian s’applique : “un·e enseignant·e”. 
2. Lorsque le terme n’est pas communément admis au féminin par la simple adjonction d’une terminaison (par exemple : “travailleureuse”) le doublon s’applique : « travailleur et travailleuse ».  
3. Lorsque le même doublon possède de multiples occurrences dans un texte, il est remplacé, dans la mesure du possible, par des synonymes.
4. Un mot ne contiendra pas plus d’un point médian. On écrira donc « les enseignant·es », et non pas « les enseignant·e·s »
5. Une liste des synonymes pour les termes les plus fréquents sera dressée par la rédaction et mise à disposition prochainement.
6. On évitera le choix de termes nécessitant un point médian dans les titres et les intertitres.