Réuni en kern le jeudi 6 septembre 2012, le gouvernement belge a décidé de durcir les conditions de la libération conditionnelle « pour les infractions les plus graves » en allongeant la partie incompressible de la peine – d’un tiers actuellement à la moitié pour un condamné primaire, et de deux tiers à trois quarts […]
Il faut refuser et changer le vocabulaire sur l’insécurité. L’insécurité est au mieux une sensibilité, ou encore un affect à usage politique, curieusement indexé à la délinquance. Parlons plutôt d’incertitude, une notion qui doit permettre de rouvrir la conflictualité sociale et un ancrage pour l’intervention.