Le président du Parti socialiste explique la bonne tenue électorale de son parti aux élections de juin 2009 par un respect des valeurs socialistes «classiques» (defense de l’État et des services publics, lutte contre la pense unique libérale…). Pour Elio Di Rupo, le réel n’est pas acceptable, il doit donc être absolument changé. Quitte à plaider la révolution.