Il est indéniable que le capitalisme récupère toute idée neuve, toute tentative de réforme, et éprouve une grande difficulté à se renouveler. L’argent réinjecté aujourd’hui dans l’économie mondiale – peu importe qu’il soit plus que jamais investi dans des secteurs dits « verts » – sans les mesures de régulation massive qui auraient dû l’accompagner, risque de mener à de nouvelles bulles spéculatives, tandis que l’économie réelle se relève à peine.