En suivant une logique essentiellement économiciste (application des règles de la compétitivité), la politique des Vingt-Sept de l’eau en néglige les aspects humains (accès pour tous à l’échelle mondiale) et environnementaux (fragilisation des écosystèmes et de la biodiversité).
Avec l’émergence des pays du Sud, s’ils n’ont plus les mains entièrement libres, les États-Unis et l’Union européenne gardent tous pouvoirs sur l’organisation. Le dernier sommet de l’OMC en fut une nouvelle preuve. Echantillon de discussions et de mesures adoptées.