Les promoteurs de la fin du vote obligatoire avancent souvent l’argument de l’absence de liberté du citoyen. Mais le droit d’intervenir dans les affaires publiques, via le vote, n’est-elle pas une forme de liberté ? L’absence d’intérêt des citoyens pour les affaires publiques est un autre argument. Mais mettre à l’écart ceux qui se désintéresse de la politique est-il un objectif démocratique ?