Tout a changé : la coalition, le personnel, le style, la méthode, la politique étrangère, la justice, l’État social actif… Et rien n’a changé : les grandes tendances à l’œuvre sous Dehaene continuent à s’imposer sous Verhofstadt. Fallait-il à ce point que tout change pour que rien ne change ? A moins qu’imperceptiblement, les changements de forme ne finissent par transformer le fond ? Au bout d’un an, risquons un premier diagnostic.